Juger ou ne pas juger ?
- Le 04/04/2025
- Dans Tout
Audio :
La Bible est un livre surnaturel, miraculeux et unique au monde. Elle a un auteur, et une quarantaine de rédacteurs, de contrées, de langues et de cultures différentes, ayant vécu à des époques différentes, éloignés géographiquement et n’ayant pour certains jamais eu connaissance de l’existence des uns et des autres.
car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. 2 Pierre 1.21
Dieu, le véritable Auteur, les a choisis et établis pour écrire, sur une période couvrant 1600 ans, un ensemble de livres très distincts (66) et communiquer Son message de vie et de salut. Tous ces livres ont été ensuite assemblés, au quatrième siècle après Jésus-Christ après plusieurs conciles, pour ne plus former qu’un seul livre, la Bible, dont le message est tellement inspiré, cohérent et uni qu’on en oublie qu’il s’agit à la base de plusieurs livres distincts assemblés.
Non seulement, Dieu choisit des auteurs différents pour délivrer son message unique mais Il écrit aussi dans l’histoire d’un peuple. La sortie d’Egypte, l’ouverture de la Mer Rouge devant le peuple hébreu puis plus tard, l’ouverture miraculeuse des eaux du jourdain pour qu'il entre dans le pays promis sont une illustration prophétique, gravée dans l’histoire humaine, du processus de conversion qui s’effectue à la nouvelle naissance.
On sort d’un monde qui nous asservit et nous fait gémir, (l’Egypte dans l’histoire) par l’action miraculeuse du Seigneur, qui ouvre un passage impossible (la Mer rouge), figure du baptême, dans cette nouvelle vie. La vie ancienne est engloutie dans ce baptême de même que les poursuivants du peuple hébreu sont engloutis par les eaux qui se referment et interdit tout retour en arrière.
Après un passage dans le désert (qui peut durer entre 40 jours et 40 ans - Jésus a passé 40 jours dans le désert après son baptême, les israélites ont passé 40 ans à cause de leur incrédulité - les israélites se retrouvent aux portes du pays promis (la vie abondante en Christ) auquel ils ne peuvent accéder que par un second miracle, l’ouverture du Jourdain. Puis commence une route de plus que vainqueurs, tant qu’ils suivent pas à pas les directives de Dieu.
Le sacrifice de l’agneau institué par Moïse pour la Pâques, préfigurait le sacrifice suprême de l’agneau de Dieu, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu à la Croix, sacrifice par lequel nous sommes assurés d’un plein pardon pour toutes nos offenses et d'une totale réconciliation avec Dieu. Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. Saint Augustin a dit « Le Nouveau Testament est caché dans l’Ancien, l’Ancien est expliqué dans le Nouveau »
Et si une contradiction semble apparaitre, il suffit d’étudier la Parole plus profondément pour réaliser avec émerveillement que d’autres parties du Livre, élargissant la perspective, permettent de résoudre le problème. La Bible explique la Bible.
Vous est-il arrivé de buter, un jour, sur un passage, de laisser le temps faire et de trouver un autre jour, dans un autre passage, la résolution de l’énigme ? Dans tous les cas, Dieu éclaire et ne nous impose pas des principes à suivre sans réfléchir. Il en appelle à notre intelligence et nous invite à lui demander la sagesse si nous pensons en manquer. Et pourquoi demanderait-on la sagesse si ce n’est pour l’exercer !
L’homme doit utiliser son bon sens éclairé, chercher à comprendre ce que Dieu attend et ne pas prendre un verset, hors de tout contexte et en faire un dogme aliénant pour les autres et pour lui-même, ce que font allègrement les fanatiques ou les ignorants imprudents.
La Bible n’est pas un livre dogmatique. Le fait que Dieu ait livré son message ne nous dispense pas de réfléchir, avec la sagesse qu’Il nous donne, si nous la lui demandons et qu’Il se plaît à nous voir exercer.
Jacques 1 :5 Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée.
Voici deux exemples d'apparentes contradictions, qui vont nous forcer à utiliser l'intelligence que Dieu nous a donnée.
REPONDRE OU NE PAS REPONDRE ?
Proverbes 26 :4 Ne réponds pas à l'insensé selon sa folie, De peur que tu ne lui ressembles toi-même.
Le sens est clair, ici. Si une personne se comporte à mon égard de façon déréglée, m’importune, me fait du mal, il n'est pas question que je me laisse entrainer dans son jeu, que je perde mon sang froid et finisse par me comporter comme elle et lui ressembler. Le nouveau testament dit : ne répond pas au mal par le mal.
Romains 12 :21 Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger; s'il a soif, donne-lui à boire; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien.
Bon, donc la règle est claire et compréhensible.
MAIS. Le verset suivant pourrait poser problème car il dit en apparence exactement le contraire.
Proverbes 26 :5 : Réponds à l'insensé selon sa folie, Afin qu'il ne se regarde pas comme sage.
Bon alors, je réponds à l’insensé selon sa folie ou je n’y réponds pas ?
Dans le deuxième verset, il est question de répondre à l’insensé, en suivant sa logique, de sorte qu’il voie, par notre réaction, comme dans un miroir, ce à quoi il ressemble, lui, en se comportant de la sorte. Nous l’aidons à mieux voir sa folie.
Les deux versets traitent donc de deux attitudes complémentaires possibles quand on se trouve en face de quelqu'un qui déraille :
- le premier parle des états intérieur et extérieur de calme dans lequel nous nous maintenons : le désordre de l’insensé ne nous atteint pas et nous ne lui répondons pas, emporté(e) par le même dérèglement.
- le deuxième verset nous propose une réponse possible et amicalement pédagogique, consistant à agir comme lui pour qu'il se voie comme un miroir et ceci en vue de l'aider à se ressaisir alors qu'à travers nous il peut contempler sa propre folie. Précisons que la pratique du deuxième est exclusivement réservée à ceux qui ont la maitrise de soi pour ne pas se laisser entrainer dans le chemin de folie de l’autre.
Le premier verset traite de nous et de notre réaction intérieure attendue face à la 'folie'. Le deuxième, s’occupe de l’autre dans sa folie et du service que nous lui rendons par la « méthode » du miroir.
Il faut être inspiré par l’Esprit Saint dans de telles situations. Parfois, on pratiquera uniquement le premier verset, parfois les deux. On voit en tout cas, ici, dans l’ancien testament, une sagesse subtile, en accord avec tous les principes de l’évangile et non pas un principe dogmatique, carré et sans nuance. Si on lit rapidement, ou avec un parti-pris, on croit voir une contradiction. Si on utilise la réflexion, on voit de la sagesse !
Parlons maintenant du jugement. Faut-il juger ou pas?
JUGER OU NE PAS JUGER
Vous est-il arrivé de réagir face à une situation injuste ou anormale, en exprimant votre désaccord. Et vous vous être fait reprendre : un chrétien ne doit pas juger, vous a t-on dit. Il faut rester dans l’amour.
Et ca a fermé votre bouche. Pourtant ce raisonnement est tout à fait incorrect et même stupide. Comme très souvent, il s’appuie sur un verset de la Bible, et néglige tous les autres qui l’équilibrent et le complètent pour donner la pensée entière de Dieu sur le sujet. Le Seigneur est l'Auteur de la Bible er sa sagesse ne se trouve pas dans un seul verset. Voyons les textes :
Matthieu 7 : 1-5 Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés.
Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez.
Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère, et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? Ou comment peux-tu dire à ton frère : Laisse-moi ôter une paille de ton œil, toi qui as une poutre dans le tien ?
Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille de l'œil de ton frère.
C'est le verset qui est utilisé pour défendre l'amour à tout prix et l'interdiction de juger. Et sur la base de cet unique verset, on ne juge plus rien. On accepte de devenir bête et naïf. On ferme la bouche devant tout, devant tous les comportements même les plus inacceptables, toutes les idées même les plus saugrenues, tous les dérèglements même les plus insensés, toutes les paroles même les plus stupides ou déplacées. Soit disant pour ne pas enfreindre le devoir d'aimer.
Pourtant le message que le Seigneur Jésus veut faire passer ici est tout autre . Le Seigneur Jésus parle ici de ne pas juger une personne, comme si on était mieux qu’elle. C’est l'intention de ce texte
Car Il dit ailleurs :.
Matthieu 7 : 1-5 Ne jugez pas selon l'apparence, mais jugez selon la justice.
Alors on juge ou on ne juge pas ? Jésus se contredirait-il-il ?
Dans la même Bible ce verset rééquilibre l'instruction précédente et enrichit notre compréhension de la volonté de Dieu au sujet du jugement. Oui, nous devons juger, mais selon la justice et non selon l’apparence.
Nous n’avons qu’une vision superficielle des gens qui nous entourent. Et si nous voyons un défaut en eux qui nous gêne, c’est juste un défaut, un seul, une paille. En revanche, la multitude de tous nos propres petits et grands défauts, ajoutés les uns aux autres constituent eux une poutre que nous connaissons bien et qui est bien plus lourde que la petite paille de notre prochain.
Romains 2 : 1 O homme, qui que tu sois, toi qui juges, tu es donc inexcusable ; car, en jugeant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui juges, tu fais les mêmes choses.
Encore un verset avec la même intention que celui de la paille et la poutre et qui fait la jonction avec celui de juger selon la justice. Outre le fait que nous détestions souvent chez les autres, ce qui nous gêne en nous-même et que nous détectons d’autant plus vite chez eux, ce n'est pas le fait de juger qui est condamné ici, mais plutôt de juger alors qu'on fait les mêmes choses.
Mais, je ne fais pas la même chose, direz-vous.
N'avons pas lu que désobéir à un commandement, c'est les enfreindre tous. Donc en faisant une 'chose', en commettant un péché, nous les faisons toutes, en devenant aussi transgresseur de la loi.
Jacques 2 : 10 - Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous.
En effet, celui qui a dit : Tu ne commettras point d'adultère, a dit aussi : Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d'adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi.
En condamnant la faiblesse d'une personne, faiblesse qui l'a conduite à faire certains mauvais choix et à commettre certaines fautes, nous nous condamnons nous-même nous qui sommes sujet à la même faiblesse qu'elle. Il n'est pas dit que nous faisons la même chose mais LES mêmes choses, la même sorte de chose, le péché sous toutes formes.
Et si nous voulons honnêtement considérer ce sujet, la Bible va encore plus loin .car que faire du verset suivant si vraiment, nous ne pouvons pas juger.
1 Corinthiens, 6:3 - Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde? Et si c`est par vous que le monde est jugé, êtes-vous indignes de rendre les moindres jugements? Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie? Quand donc vous avez des différends pour les choses de cette vie, ce sont des gens dont l`Église ne fait aucun cas que vous prenez pour juges!
L'apôtre Paul parle ici des chrétiens qui, à tort, traînent d'autres chrétiens dans les tribunaux. Le jugement des différends sur les choses de la vie devrait se tenir entre nous et non pas dans les tribunaux du monde. Nous sommes appelés à juger le monde et les anges. Pourquoi faisons nous appel à ceux dont l'église ne fait aucun cas, c'est à dire ceux qu'elle n'estime pas être compétents. N'avons nous pas reçu la sagesse bien supérieure de Christ ? Et cette sagesse inclut la faculté de juger.
En Jacques 2'13, la pensée se précise :
Jacques 2 :13 - le jugement est sans miséricorde pour qui n'a pas fait miséricorde. La miséricorde triomphe du jugement.
Il faut juger mais avec miséricorde. Ce n’est pas le jugement qui est un problème mais la mauvaise disposition d'esprit qui l'accompagne ,l’absence de miséricorde dans le jugement. Nous pouvons juger, nous devons juger de tout. Mais notre jugement ne peut raisonnablement pas être dur et sans miséricorde à l'égard du prochain. Car nous sommes sujets à la même faiblesse. L'oublier n'est rien d'autre que de l'orgueil. Nous serons jugés selon la mesure dont nous avons jugé. Si nous jugeons les autres avec miséricorde, nous le serons nous-même avec miséricorde
1 Corinthiens 2.15 - L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne.
L’homme ou la femme ayant l'Esprit de Dieu en lui ou en elle juge de tout. Il ou elle n’approuve pas tout, sous prétexte d’amour (d’ailleurs on se demande de quel genre d’amour il est question dans ce cas). L’homme ou la femme inspiré(e) par L’Esprit de Dieu a un œil ouvert, un sens exercé à discerner le bien du mal et n’appelle pas le mal, bien. Ce qui est mal est discerné, évalué et jugé comme tel. L’homme spirituel juge sans compromis.
Mais il juge avec miséricorde. Il juge le mal que commet la personne. Mais il ne juge pas la personne qui le commet. Son jugement est sans concession sur la mauvaise action ou la mauvaise parole. Mais il reste empreint de bonté et de miséricorde vis-à-vis de la personne qui en est l'auteur et qui est tiré de la même poussière et qui navigue dans la même barque.
Galates 6.1 Frères, si un homme vient à être surpris en quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le avec un esprit de douceur. Prends garde à toi-même, de peur que tu ne sois aussi tenté.
1 Jean 5.16 - Si quelqu'un voit son frère commettre un péché qui ne mène point à la mort, qu'il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère, il la donnera à ceux qui commettent un péché qui ne mène point à la mort. Il y a un péché qui mène à la mort ; ce n'est pas pour ce péché-là que je dis de prier.
Voilà, tout est dit. Comment pourrais-je voir mon frère commettre une faute, si je m'interdis de juger, d'évaluer, de peser et discerner le mal ?
On doit bien juger mais avec un jugement empreint d’amour et d'humilité et avec le désir sincère et amical que l'autre s'en sorte. On prie pour que Dieu fasse à l'autre la même grâce qu’Il nous faite en nous donnant sa vie, une vie qui s'exprime par un fort désir et la force de s'éloigner de ce qui lui déplaît. C’est Dieu, dans Sa Grâce, qui nous délivre, d’abord en nous ouvrant les yeux (car qui connait ses égarements) puis en nous donnant la force et le désir de nous en dégager. Cela est exprimé ailleurs :
2 Timothée 2.25 il (le serviteur de Dieu) doit redresser avec douceur les adversaires, dans l'espérance que Dieu leur donnera la repentance pour arriver à la connaissance de la vérité, et que, revenus à leur bon sens, ils se dégageront des pièges du diable, qui s'est emparé d'eux pour les soumettre à sa volonté.
Le serviteur de Dieu, celui qui sert Dieu, c’est-à-dire chacun de nous (il est vrai que Paul s'adressait dans ce passage spécifiquement aux responsables de l'église mais le principe s'applique à tous car à des niveaux différents, nous sommes tous serviteurs, disciples et amis de Jésus-Christ) juge un adversaire, le redresse avec douceur et prie (nous l’avons vu plus haut) dans l’espérance que Dieu lui donnera la repentance comme il nous a donné à nous-mêmes la repentance dans tant de domaines.
Un homme spirituel juge avec miséricorde, redresse avec douceur et exerce sa foi et un amour authentique en priant Dieu qui DONNE la repentance.
Laissez-moi vois décrire une situation très révélatrice de l’état de notre cœur :
A la vue de la faute de notre frère ou de notre sœur, nous nous sentons soudain saisi d'une ‘sainte’ ardeur, d'un zèle ardent pour la justice et la vérité, d'une ‘sainte’ irritation et des paroles vraies mais dures sortent de notre bouche...
Ce zèle accompagné de dureté est suspect et devrait nous conduire à méditer sur notre poutre.
Il n’y a rien de spirituel (inspiré par l’Esprit) dans ce type de réaction ! Ne nous trompons pas avec de faux raisonnements sur la soi-disant très spirituelle haine du péché qui nous animerait, de notre grand zèle pour Dieu et Sa justice ou de notre soi-disant désir de 'secouer' le contrevenant pour son bien. Ne nous comportons de la manière la plus charnelle et la plus destructrice qui soit en nous drapant d'arguments pseudo 'spirituels'. Car :
Jacques 3. 14 - Mais si vous avez dans votre cœur un zèle amer et un esprit de dispute, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. Cette sagesse n'est point celle qui vient d'en haut ; mais elle est terrestre, charnelle, diabolique.
Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions.
La sagesse d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits…
EN BREF
Lorsqu’un verset de la Bible dit ‘ne jugez point’, il ne dit pas ‘acceptez tout sans réflexion, même lorsque c’est répréhensible, sous prétexte que ‘l’amour accepte tout’.
La Bible dit globalement : soyez intelligent et sans concession pour discerner le mal et le condamner. Ne prenez point part aux oeuvres in fructueuses des ténèbres plutôt condamnez les. Mais ne condamnez pas la personne qui le commet. Souvenez-vous que vous êtes de la même nature qu'elle.
Jacques 3.2 Nous bronchons tous de plusieurs manières.
Nous bronchons TOUS d’une manière ou d’une autre. Nous comprenons qu’une personne commettant une faute a besoin d’être redressée (reprise) avec douceur, qu’on prie pour elle et que Dieu lui fasse grâce et l’éclaire comme il l’a fait pour nous dans d’autres domaines.
Romains 12.9 Que la charité soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur; attachez-vous fortement au bien.
Ephésiens 5.11 - et ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les.
Les textes sont clairs, n’est-ce pas. Le mal, le péché, l’acte ou la parole repréhensible sont condamnables. Pas de concession à ce niveau, pas de compromis, pas d’excuse. Condamnez les œuvres infructueuses des ténèbres. Les œuvres ! Les actes ! Pas les personnes !
1 Thessaloniciens 5.21 Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon.
1 Corinthiens 2.15 L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne.